jeudi 25 juillet 2013

Crème pour les mains purifiante ? Really ?



Les Gens, Les Autres, bonjour,


Aujourd’hui, je reviens pour vous parler d’un produit que j’ai testé contre mon gré : la crème pour les mains purifiante à l’absinthe de chez The Body Shop. « Contre mon gré » parce que, à la base, j’étais allé chez The Body Shop pour acheter la crème au chanvre qui me fait envie depuis fort longtemps. Sauf que j’habite dans le fin fond de la Belgique, que j’dois me taper 45 minutes de route pour trouver un The Body Shop (les achats par internet ne sont pas possibles depuis la Belgique) et que j’déteste les vendeuses qui sont collées à moi pendant que j’fais mes achats. Mais, voulant tellement cette crème au chanvre, j’ai pris mon courage à deux mains, et suis allé en boutique. Pour éviter la question la plus angoissante du monde, à savoir : *voix de connasse* « J’peux vous aideeeeeeeeeeer ? », j’suis rentré hyper-vite dans la boutique, j’ai repéré le stand des crèmes pour les mains dans les tubes métalliques avec une "étiquette" verte, pris ce que j’croyais être de la crème au chanvre (chopé un beurre corporel à l’aloé vera au passage), puis j’ai été régler tout ça à la caisse. C’est seulement en rentrant chez moi et en testant la crème que j’me suis posé des questions ; d’abord, elle n’était pas du tout « hyper grasse » comme tout l’monde semblait le dire.  Elle ne puait pas la cave, non plus. C’est là que j’ai regardé le packaging et réalisé que, en fait, j’avais acheté la crème purifiante à l’absinthe (triste vie…) ! Déception totale ! Et Trop loin pour aller la rapporter/trop chère pour la jeter. Du coup, en voilà la revue.



Le premier point qui me marque et qui, je pense, est le même pour toutes les crèmes de la « gamme » : c’est le packaging ! Un tube en métal avec un bouchon à visser ! Merde, quoi ! Vous avez foiré votre coup, les gars ! J’peux pas le mettre dans mon sac sans qu’il ne soit tout déformé et la moindre tentative de « remise en forme » me donne l’impression que le tube va éclater de partout. Et le bouchon A VISSER ! Mais LOL, QUOI ! Impossible de n’pas foutre de la crème partout quand on vient de se crémer les mains et qu’on veut refermer le tube ! Bref, pas pratique du tout ce truc.


Ensuite, c’est le principe même de cette crème qui me rebute un peu. Une crème purifiante qui « dissimule les odeurs et laisse une sensation de fraîcheur sur les mains ». Genre tu mets de la crème et ça masque l’odeur du poisson que tu viens d’évider à mains nues ? J’trouve que c’est vraiment un truc de crasseux. Ca m’fait un peu penser aux gens qui mettent du déo mais n’se lavent pas… 

Mais soit, c’est le principe de la crème, si ça n’me plaît pas, j’aurais pas dû l’acheter. POINT !


Le dernier point négatif (après promis, j’énoncerais les trucs positifs que j’ai trouvé à cette crème. Parce que OUI, il y en a !) c’est son pouvoir d’hydratation qui est … euh… proche de -17 (?). Là, c’est pourtant écrit « Hydrate ». « Les couches supérieures de l’épiderme », certes, mais « hydrate » quand même. C’est pas une crème nourrissante, j’m’attendais pas à c’qu’elle soit hyper riche, mais alors là… Elle m’hydrate pendant 30 secondes après application, à peu près. Puis, plus rien… J’ai la peau très sèche aussi, faut l’dire. Ce produit n’était vraiment pas fait pour moi, j’dois l’accepter.


En revanche, rendons à César ce qui appartient à César (Utilisation d’une expression de vieux : + 15 points de sérieux/crédibilité), y a quand même un truc que j’adore dans cette crème : son odeur. Une odeur très forte, qu’à mon avis soit on déteste, soit on adore, très « verte », très fraîche et QUI RESTE ! Pour vous donner une idée, elle me rappelle l’odeur des fiches/courrier pour commander par correspondance chez Yves Rocher que ma mère recevait quand j’étais petit. Multipliée par 12 000, mais ça me rappelle ça. J’A-DORE ! L’autre point positif est, en dépit du fait qu’elle n’hydrate que dalle, qu’elle est très légère/fluide. Elle devient très liquide au contact de la peau et pénètre quasi’ instantanément sans fini gras/collant. 


Du coup, vu qu’elle m’a quand même coûté 14 €, j’l’utilise après m’être lavé les mains, en genre de « parfum pour main ». L’odeur est tellement plus agréable, pour moi, que celle du savon antiseptique. Elle est tellement forte, en plus, que j’ai pas besoin de sniffer mes mains pour avoir profiter de cette odeur d’absinthe (la plante, hein. Pas l’alcool… ‘fin, j’sais pas j’ai jamais senti ni l’une, ni l’autre, mais un « expert » en la matière m’a dit que ça n’sentait pas du tout l’absinthe « boisson »). 


Voilà comment j’ai essayé d’me convaincre que, finalement, même si elle n’est absolument pas faite pour moi, j’l’aime assez bien cette crème. Pas au point de la racheter, peut-être, mais quand même…


Hello, Hello, Helloooo...



Les Gens, les Autres… euh… bonjour ?


Après une longue absence… [insérer ici un paragraphe qui explique ma vie ; mélange compliqué à base de « j’travaille à une heure de route de chez moi », de grosse flemmance, de problèmes organisationnels et d’autres excuses ressorties à toutes les sauces par tout bon bloggeur qui délaisse son blog pour une durée indéterminément longue] ME REVOILÀÀÀÀ ...

 

Pour vous parler d’un sujet d’intérêt mondial, au moins : les sourcils. MES sourcils, même. Parce que c’est un peu une obsession chez moi et que j’ai une manière de les entretenir/faire bien à moi. Ou en tout cas que j’n’ai jamais vue chez personne (si ça s’trouve, tout l’monde fait pareil. Manifestez-vous alors !!). Commençons direct’, parce que je sens que cet article va encore fait 3 km.

Entretien

La première étape, avant de les combler/redessiner/etc, qui est, pour moi, la plus indispensable, c’est l’entretien des sourcils. Par « entretien », j’entends épilation, taillage et coiffage. Niveau épilation, je bannis totalement l’épilation des sourcils en eux-mêmes (les sourcils tout fins, ça fait clown, c’est le mal et c’est « so 90’ »). J’me contente juste d’épiler les éventuels poils qui se battraient en duel dans mon entre-sourcils, vous savez ceux qui, si on les laisse, viennent former un horrible mono-sourcil dégueulasse (comme la fille de Madonna y a quelques années…). Bon, j’ai les poils blonds, ça aide vachement ; les poils oubliés ne sont pas flagrants. Mais quand même…

Ensuite, vient l’étape du taillage. Oui, du taillage. Avec des ciseaux et tout. Certains ont peur de s’couper les sourcils. Personnellement, je n’suis pas victime de l’angoisse de finir avec un sourcil tailladé (c’est que des poils, au pire vous comblez les trous avec du fard et « Hop ! Ni vu, ni connu je t’enc… »). En revanche, l’idée d’avoir des poils tellement longs que j’vais finir avec un « sourcil du diable » (les poils qui remontent juste à l’angle du sourcil et donnent un air méchant, là…) au moindre grattage/coup de vent, m’angoisse, elle. Et le gel à sourcil, non merciL (paye tes rimes !).

Pour cette étape, je procède comme suit. D’abord, à l’aide d’une brosse/d’un peigne à sourcils, je coiffe tous mes sourcils vers le haut. Ensuite, avec une bête paire de ciseaux, j’coupe tout c’qui dépasse de mon « unité sourcillaire ». Ainsi, j’ai un truc net sans devoir passer par la case « épilation » qui pourrait bien me faire finir avec les ex-sourcils de Liza Monet.

Maquillage/Redessinage/Comblage

Cette seconde étape consiste au maquillage/redessinage/comblage, donc. Pour ce faire, j’utilise, actuellement (parce que j’me suis foncé les cheveux du dessus et que donc, j’préfère avoir les sourcils un peu plus foncés que d’habitude), deux fards poudres MATS, à savoir :
              Omega (Mac), un brun froid très clair. Quand j’étais que blond, je n’utilisais que lui et ça m’allait parfaitement. J’insiste sur le fait qu’il s’agisse d’un brun FROID parce que du fard avec des sous-tons rouges/oranges (chaud, quoi) dans les sourcils, j’trouve ça juste… euh… IMMONDE (j’ai essayé le kit à sourcils d’Elizabeth Arden en Soft Blonde, d’ailleurs. Sachez que c’était une CATASTROPHE !!! Genre, ça m’faisait des traînées orangeâsses dans les sourcils … [IMMONDE]²³ !! ) 
               Crave(Urban Decay – Palette Naked Basics), un noir très (TRES) intense.


    Pour avoir pile poil la couleur que j’veux, j’effleure la surface du fard Crave avec mon pinceau (le 208 de chez MAC) puis le tape 2, 3 fois dans Omega. Je teste la couleur obtenue sur ma main et ajuste, si nécessaire en rejouant avec les deux couleurs. Généralement, j’ajoute uniquement du fard Omega, le Crave étant tellement intense que même un mini tapotage du pinceau donne une couleur 1383639 plus foncée que celle désirée. Quand j’ai obtenu la couleur souhaitée, en l’occurrence celle d’Omega en un peu plus foncée, j’peux entamer la suite.
  

C’est là que ma méthode me semble propre à moi-même, mais je serais heureux de savoir que j’suis pas le seul à faire comme ça. L’idée étant d’avoir un truc net sans finir avec les sourcils de Nabilla, j’applique le fard à partir du second tiers en partant de l’extérieur (en évitant la tête, donc) et, uniquement sur la partie inférieure, je trace un trait allant jusqu’à la fin de la queue du sourcil que j’allonge un peu vu que mes sourcils sont blonds et que, du coup, on dirait que, passé « l’angle », j’n’ai presque plus de poils… Avec une main très légère, j’utilise ce qu’il me reste sur le pinceau pour combler légèrement la tête (sans avoir un truc carré/trop net/ « à l’américaine ») et estomper mon trait vers le haut. De cette manière, j’obtiens un truc très net sans avoir l’air d’y avoir passé 5 heures, la partie supérieure de mon sourcil n’ayant pas été redessinée. Je termine cette étape en me repassant un coup de brosse/peigne pour éliminer les éventuels excès et estomper le tout encore un peu plus.

Nettoyage/Mise au propre

Enfin, 3 ème et dernière étape (Dieu soit loué !) : le nettoyage. J’appelle ça comme ça parce que c’est toujours dans l’idée d’avoir un truc encore plus propre. Il s’agit ici d’éclairer l’arcade, en fait, ni plus, ni moins. Pour cela, j’utilise le fard Blanc Type de chez MAC (beige très clair, mat), que j’applique sur la totalité de l’arcade, tout juste sous le sourcil. Ensuite, j’ajoute, uniquement sous la queue du sourcil (dans la zone située après l’angle), le fard Tibet de chez Nars (un blanc irisé). A noter que de temps en temps, selon mon envie du jour, je remplace le Tibet par le Shroom de chez MAC, un champagne très clair et très irisé qui, contrairement au fard de Nars, ne contient pas de paillettes, aussi fines soient-elles. J’applique et estompe tout ça avec le pinceau Shading Brush de Real Techniques.

En résumé (parce que c’est (trop) long comme explication, j’avoue) :
         ☞ [Omega (MAC) + Crave (Urban Decay)] dans le sourcil - 208 (MAC)
         ☞ Blanc Type (MAC) sous le sourcil - Shading Brush (Real Techniques)
         ☞ Tibet (Nars)/Shroom (MAC) sous la queue du sourcil - Shading Brush (Real Techniques)

 
Résultat final, avec ma tête et la comparaison avec un sourcil pas fait en prime.



Et voilààààààà. Vu comme ça, j’ai l’air d’y passer 3 jours, mais j’vous jure que ça me prend 2 minutes maximum, en vrai. 

Sur ce, à dans 3 mois ...


(Non, je "lole", j'espère quand même poster plus régulièrement. Faudrait qu'j'apprenne à faire des articles plus courts aussi, ça n'm'aide pas...)